Bonjour,
Voici une nouvelle que j'avais écrite à l'occasion d'un truc spécial. Elle n'est pas super, mais bon comme elle est enregstré sur l'ordinateur je la met.
Hiacynthe
Hiacynthe, tel était son nom. Jeune, galante, belle.... Mystérieuse, fantastique.... était seulement quelques mots qui pouvaient la décrire.
Déesse de la neige, du temps, Reine de l'univers.
Marine regardait par la fenêtre. Son père était partit pour une expédition de plusieurs mois. Il devait revenir avant Noël. Il était déjà partit depuis des semaines. De l'intérieur de la maison elle voyait une tempête se levait. Les premiers flocons descendaient du ciel en tourbillonant. Elle dura très longtemps.
Pendant ce temps, Marine et sa mère ne purent que priés Hiacynthe. Enfin elle se calma. Son père aurait du rentrait déjà il y a plusieurs jours. Les sauveteurs partaient déjà à la recherche du groupe parit depuis maintenant trop longtemps.
Mais qui avait pu mettre la Déesse en colère ?
Noël était passé, un bien triste Noël. Le village restait sans nouvelles.
Le dimanche suivant on organisa l'enterrement des hommes qui avaient perdus la vie, laissant derrière eux, la moitié des femmes de Rapetzouir veuves.
Alors que Marine trainait à la fin du cortège les larmes aux yeux, elle entendit des voix venant d'une impasse. Elle s'y dirigea, ravalant ses larmes, et entendit des personnes parlaient. Elle comprit, que celle-ci étaient les coupables de la colère de la Reine. La colère la gagna. Elle s'avançat bien décidée à leurs dire deux mots, deux souris sortir précipitament de l'impasse. Il n'y avait plus personnes. Marine se précipita derrière les souris, et eu juste le temps d'en attraper une alors que la 2de rentrait dans un champs de maïs. Il fallait la rattraper.
Elle avançait doucement au milieu du champs, quand un chat noir, passant devant elle, la regardant de tout ses yeux. Dans sa gueule il tenait l'autre souris. Vite Marinne la récupéra, remerciant au passage le chat, avant de partir rejoindre les villageois. Elle déboula dans la place principale, ou tout le monde la regardait avec étonement, avant de se planter devant le maire, afin de tout lui expliquer. Celui-ci attrapa les fautives, et leurs trancha le cou. Pas un bruit ne venait de l'assistance.
Les souris se transformèrent en esclaves du diable, et brulèrent sur place. Une femme cria.
Les hommes qui avaient disparus arrivaient par l'entrée de Rapetzouir. Hiacynthe avait rendue les corps et les âmes.