Mara et sa vie [Non fini]

En cette fin du mois dê Juillet, l'air est doux, léger. Dans la maison du 8, Magnolia Rougea, une jeune fille lit sur son lit. Ses cheveux son châtains clairs, presque roux foncés. Elle a des yeux verts, d'une couleur émeraude. De temps à autre, elle regarde dehors. Mara se lève et descend à l'étage inférieur, dans a cuisine d'une propretée impécable. Mara apperçoit sa soeur, Julia.

- Salut Julia ...
- Bonjour Mara ... Toujours en train de porter mes vieux vêtements fichus ?

En effet, la jeune fille portait les vêtements usagés de sa grande soeur. Elle portait aujourd'hui un vieux jean trop petit et un pull trop grand.

- Oui, et alors ? répond Mara, le regard pétillant. Si je pouvait avoir autre chose, où même vivre dans une autre famille, je le ferais.

Mara déteste sa soeur, son père, et toute sa famille. Elle rêve de vivre en internat, dans son école, là où elle se sentait si bien.

- Mara, je viens de recevoir ta liste scolaire. Toi aussi Julia. Votre père vous emmenera demain acheter le matériel. Mara, viens cinq minute s'il te plaît.

Mara se lève du canapé et suit sa mère vers la salon, lumineux et bien décoré. Sa mère commence à lui parler, d'un ton sec, comme à son habitude. Ce qui fait que Mara haït sa famille, c'est parsqu'ils ont décidé de la privée d'équitation pour que Julia puissent s'acheter une nouvelle radio, ce qui fit tout de suite enrager Mara.

- Mara, ton père et moi avant consultés le directeur de ton établissement. Et nous avons pris la décision de te mettre en internat dans la même chambre que ton amie Maria. Tu ne rentreras que pendant les vacances d'été. Bien sûr, nous avons choisis quelques options. Ta 2e langue sera RIEN. Je ne veux pas payer un supplément. Par contre, tu pratiqueras l'équitation dans ton ancien centre et tu feras ... Du théatre.

Au début, Mara n'en croyait pas ses oreilles. Quitter cette maison pendant dix mois entiers la réjouissait énormement. Reprendre l'équitation était aussi un soulagement énorme. Mais faire un théatre ...
Elle regarda un instant sa mère et vit une larme. Parmis les membres de sa famille, sa mère était la personne qu'elle aimait le plus et se sentit soudiain triste. Mais son bonheur restait là. Quitter cette maison, ne pouvait pas lui faire plus plaisir.

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Mara se rends dans les magasins avec son père pour prendre ses fournitures scolaires et d'équiation, un mois plus tard. Le mois d'Août approche à sa fin. Mara prendra le train dans 2 jours pour son collège. Mais quelques heures avant le départ, une prise de tête arrive, avec sa soeur Julia.

- Enfin débarassé de cette puente soeur ! s'écria Julia
- Répète sa ? Moi, au moin, je ne suis pas une anti-amie ... Tu n'a aucune amie !
- Tu te trompe ! En plus, là haut, tu ne connais personne ! Quand ils veront tes vêtements de souillon !
- Je te signal que dans MON école, nous avons un UNIFORME !!!
- Heureusement alors, car tu les ferais tous fuire ...

Et alors le pire arriva. Mara lâche sa valise qui tomba dans un bruit sourd. Le vase qui se trouvait à quelques centimètre de Julie éclata en morceau à cause d'un mouvements brusque. Se vase était le préférée de leur mère. Julia en profita alors pour faire passer un mauvais quart d'heure à Mara. A 12 ans, Mara s'était déjà fait disputer des centaines de fois à cause de sa soeur de 14 ans ...

- Maman ! hurla Julia. Mara a cassé ton vase préféré en voulant me donner une claque !
- Si tu continue, je vais Réelement te donner une claque ...
- Mara, Julia, arrêtez ! répondit leur mère. Mara, file tout de suite mettre ta valise dans le coffre. Tu ne rentrras pas à Noël, que ça te serve de leçon.

Mara posa sa valise dans le coffre et ricana intérrieurement. L'interdire de rentrer à Noël n'est paqs di tout une punition ... Loin de là ...

Vers 10 h 30 , Mara attends son train. Elle voit une jeune fille de son âge, dont la valise était coincée. Elle alla donc aider cette fille. A peine avaientt-elles terminée que le train partait bientôt. Elles montèrent donc en vitesse et elles cherchèrent un compartiment vide. Mara lance la discution.

- Comment t'appelles-tu ?
- Iris. Et toi ?
- Mara ... Je vais en internat, comme toi je suppose.
- Oui ... Je suis dans la chambre 407.
- Moi aussi ! Je croyait que je devait être avec Maria pourtant !
- Oui, mais elle a décidé d'aller à Coupre-Vent ... Une école prestigieuse ... Fais-tu équitation et théatre ?
- Oui ... Oh !

La porte du compartiment s'ouvrit et les deux jeunes filles virent une belle rousse aux yeux marron, qui leur parla :

- Je peux m'installer ici ?
- Bien sûr ! répondirent en coeur Mara et Iris. Comment t'appelles-tu ?
- Sandra.

Sandra regarda attentivement Iris. Iris avait des chevaux blonds, coupés aux épaules, avec des yeux verts, elle aussi.
Les trois jeunes filles parlèrent durant tout le voyage. Puis le train s'arrêta et Mara, Sandra et Iris arrivèrent dans leur école.

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La directrice se présente devant le grande porte de bois. Cette école ressemblait plutôt à une sorte de château moderne. Mara, Sandra et Iris suivirent la directrice dans une grande salle. Il y avait six table, très longue, en bois de chêne. Les élèves s'installèrent sur les bancs amménagés autour des tables. Les enseignants étaient debouts, à côté de la directrice, sur une grande chaise de chêne également. Elle prit la parole.

- Bienvenue, chers élèves, dans l'école Grand's Mégik. Vous découvrirez tout les recoins de ce somptueux bâtiments au cours de l'année. Actuellement, vous vous trouvez dans la salle des repas. Maintenant, deux choses. Premirement, Grinda se chargement de surveiller les couloirs, c'est notre concierge. Deuxièmement, le courrrier ne viens pas de la poste, mais par aigles, corbeau, hiboux, et toute sorte d'oiseaux. Ils iront dans la grande volière à côté du lac, dans la parc. Sachez que demain matin, le professeur Marthéra vous distribuera votre emplois du temps. Maintenant, à table !

Des centaines de plats arrivèrent, servit par des jeunes filles en robe banche, joyeuses et souriantes. Mara se servit des frites avec un steck haché, tandis que Sandra et Iris prirent de la purée avec des merguez.
Un aigle entra en trombe dans la salle. Il fonça alors sur une petite fille, de surement 10 ans. Elle eut une coupure béante sur son bras. Un enseignant se leva et des élèves, des anciens, dirent :

- Laissez passer le professeur Guérissa, aller, poussez-vous ! Herma Grifnnine n'aura plus rien dans quelques heures !

Après ce repas copieux, nous allâmes nous coucher dans nos lit de l'aile Est, chambre 407. Mara pensait déjà à la journée du lendemain, quand les cours commençeraient ...

Mara se leva difficilement. En effet, Mara, Sandra et Iris s'étaient couché tard pour faire la fête ensemble. Elles descendirent toute les trois vers la salle des repas. Sandra s'arrêta et commença une phrase :

- C'est génial, vraiment. Nous auront toutes les trois les mêmes cours. Français, maths, botanique, théatre, équitation par contre se n'est pas pour moi. Sciences, et histoire.

Le professeur Marthéra distribua les enplois du temps.

Lundi : botanique, français REPAS botanique, équitation
Mardi :2x équitation, théatre REPAS théatre, mathe
Mercredi : journée sortie village de Migra
Jeudi : histoire x2 REPAS sciences x2
Vendredi : Français maths REPAS théatre x2
Samedi : journée libre
Dimanche : journée libre

Mara se dirigea donc vers les sers botanique, das le parc.

- Bonjour, je suis le professeur Boténi. Je vais vous apprendre l'art de cultiver les plantes. Prenez chacun une petite pelle, de l'engrais, du terreau et un pot de fleur. Nous allons dans la sers n° 5 pour replanter un géranium. Biensûr, il sera à vous.

Le cours se passa à merveille. Mara réussi à replanter son géranium dans le pot. Elle le recouvrit de terreau et d'engrais, puis elles se dirigèrent vers le cours de Français.

- Bien le bonjour, chers élèves.
- Bonjour professeur, scandèrent les élèves.
- Je suis le professeur Frannessa. Apprenons alors le verbe "saluer".
- Je salue, tu salues, il salue, nous saluons, vous saluez, ils saluent.
- Bien ...

Pendant une heure, les élèves récitèrent des verbes. Ceci était facile pour Iris et Mara, mais Sandra qui venait d'Espagne eut plus de mal que les autres. Mais Sandra sortit tout de même enchantée de ce cours de français.

- C'était merveilleux ! Cette langue si gracieuse ...

Iris et Mara pouffèrent de rire. Le français, gracieux ? C'était hilarant !

[Suite au prochain message, mais avant, donnez votre avis sur le début du roman]

Aucun commentaire ? C'est si nul que ça ?

Non non moi je trouve ça bien, j'attend juste la suite^^