Récits et poèmes
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Récits et poèmes

Si vous aimez écrire des nouvelles et poèmes, ou plutôt les lires et les commenter, inscrivez-vous !
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -10%
PC Portable Gamer ASUS TUF Gaming F15 | 15,6″ ...
Voir le deal
599.99 €

 

 Le bateau ver l’incertitude.

Aller en bas 
AuteurMessage
Swordogs
Gribouilleur Débutant



Nombre de messages : 5
Points d\'auteur :
Le bateau ver l’incertitude. Left_bar_bleue0 / 1000 / 100Le bateau ver l’incertitude. Right_bar_bleue

Points de qualité :
Le bateau ver l’incertitude. Left_bar_bleue0 / 1000 / 100Le bateau ver l’incertitude. Right_bar_bleue

Date d'inscription : 24/07/2009

Le bateau ver l’incertitude. Empty
MessageSujet: Le bateau ver l’incertitude.   Le bateau ver l’incertitude. Icon_minitimeVen 24 Juil - 12:53

Je descendais. Je déambulais. Je pensais, puis je marchais. Je regardais le ciel pour ensuite regarder le sol. Me posant des questions. Me posant LES questions. Le pourquoi pour complété mon parce que.

- Bonjours cher monsieur. Comment allez vous ?
- Question sans réponse. Vendeur de pacotille. Vendeur de doute. Que me voulez vous ?
- Être heureux, je vous offre. Plein de gaieté vous serrez. Sourire et illusion vous sèmerez.
- Et bien, et bien. Sachez et apprenez que je suis malheureux. Et de se malheureux j’en suis comblé. Désolant, je vous parais, mais le chemin que j’emprunte est d’un propice comblé. Acharné vous, monsieur le vendeur sur un autre client. Pour ma part, je resterais sans contrainte désastreux.

Je dégringolais, je plongeais. Je réfléchissais puis je prospérais. Je consultais le ciel pour ensuite admirer le sol. Quelques mètres de plus, quelque minute de moins.

- Bonjours cher monsieur. Comment allez vous ?
- Question sans réponse. Vendeur infortuné.
Vendeur de soupçon. Que me voulez vous ?
- Etre en amour, je vous offre. Plein d’adoration vous serrez. Affection et passion vous sèmerez.
- Et bien, et bien. Comme votre copain qui me harcelais dans les minutes passé. Sachez et apprenez que je suis fait de haine. Et de cette haine j’en suis rempli. D’aucun sympathique, je vous parais, mais le chemin que j’emprunte est d’un vice frapper. Acharné vous, madame la vendeuse sur un autre client. Pour ma part, je resterais sans contrainte grincheux.

Je déboulais, je glissais. Je pensais puis je continuais. Je tâtais le ciel pour ensuite flatter le sol. Quelques instants de plus, quelques secondes gaspiller.


- Bonjours cher monsieur. Comment allez vous ?
- Question sans réponse. Vendeur inamical. Vendeur de mépris. Que me voulez vous ?
- Avoir de l’espoir, je vous offre. Plein d’espérance vous serrez. Attente juste et aspiration vous sèmerez.
- Et bien, et bien. Comme vos copains qui me harcelais dans les minutes passé. Sachez et apprenez que je suis fait de détresse. Et de cette détresse j’en suis rempli. D’aucun espoir, je vous parais, mais le chemin que j’emprunte est d’un accablement certain. Acharné vous, madame la vendeuse sur un autre client. Pour ma part, je resterais sans contrainte tourmenter.

Enfin, je suis arrivé. Enfin mon but est achevé. Enfin. Je vais pouvoir me reposer de ma tâche. Devant moi, devant toi, devant il et elle je suis la. Penser a moi, penser a cela. Un pas vers le bateau, une course vers Adèse. Que me proposer vous ? Que voulez vous ? Frappant la coque, frappant mon torse, je me mis à voir, corail et algue de paix. Enfin, je pensais. Enfin je m’évadais. Sur mon beau bateau. Sur la voile de l’incertain. Sur la vue des autres. Percutant, n’est ce pas ? Flotter il voudrais mais en pourrait.

De ce fait, demain, si tous êtes chanceux. Vous lirez. Etonnamment. Admirablement. Un article, posant sur moi. Sur mon beau bateau. Un article visant à la vie que je vais menez, dansant et virevoltant. Criant a la vie, me taisant sur l’éternel.

Vous verrez un article sur ma destination. Au monde des âmes je vais. Au monde de l’inconnu je me rends. De toute ses façon. De toute les manière. Vous lirez, en vous racontant que la fin. Se titre : SUICIDE SUR LA RUE DE LA CÖTE D’IVOIRE, UN HOMME PLONGE.
Revenir en haut Aller en bas
 
Le bateau ver l’incertitude.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Récits et poèmes :: Ecrits :: Vos nouvelles-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser